La vraie valeur d’une entreprise ne se voit plus que dans les haut et bas de bilan. La gestion des connaissances permet de :
– Rendre visible l’invisible, de le convertir en capital de savoir tangible, mesurable… et valorisable .
– Transmettre les savoirs pour qu’ils perdurent dans les organismes est vital mais pas toujours facile. Les membres du Club Afnor parcours Croisés « Innovation Publique » ont souhaité pouvoir débattre de ce thème le 5 mars 2025.
| Sur le sujet, les questions fusent : Quels sont les principes de identification, de gestion et transmission des savoirs et connaissances ? Que mettons derrière savoir, connaissance, technique, organisationnelle, savoir-être ? Quels sont les intérêts, atouts, importance de le faire ? En quoi le capital immatériel contribue-t-il a convaincre les dirigeants à transmettre les savoir ? Faut-il obligatoirement transmettre son savoir ? Est-ce un risque de reproduire l’existant ou une opportunité d’innover ? Comment organiser et répartir la transmission vers quelles personnes ? Quels outils innovant pour la transmission des savoirs ? Comment mesurer ? Comment passer de la prise de conscience à l’action de transfert réelle du savoir ? |  |
Pour y répondre et pour rendre l’animation pratique, les questionnements ont été regroupés en quatre parties, et chaque partie a été traité avec un mode d’animation particulier :
partie 1 – De quoi parle-t-on ? Termes et définitions.
→ Animation « Une place pour chaque mot »
partie 2 – Pour quoi c’est utile ?
→ Animation « Remue méninge »
→ Exemples de mise en œuvre (ECMS Extra-ct, Conférences en ligne BeezConf , livres blancs, dictionnaire du management BeezMap, briques de formation… boostée à l’IA)
partie 3 – Comment faire ?
→ Démonstration des dispositif (extract, base de connaissance SAS Beeznet…)
partie 4– Étude de cas, mise en situation (au cas par cas)
→ cas autour des personnes concernées par la valorisation des connaissance (départ à la retraite, mutation professionnelles….) au format CAR (Contexte-Actions à mener- Résultat souhaité)
Merci à Vincent iacolare d’avoir pris en charge cette animation, qui s’est terminée sur le jeu des dernières questions et réponses en 1mn chrono :
| – Taille critique pour ce type d’organisation “connaissance”? | Mini 1, on peut commencer seul ! |
| – “c’est de Auto-administration basé sur la confiance et la collaboration” ? | Oui c’est la définition de l’entreprise agile et c’est une organisation pertinente pour valoriser la connaissance |
| – Quel temps, volonté, dynamique pour y arriver ? | N’y aller qu’avec des acteurs motivés, qui prendront le temps pour ça |
| – Comment mesurer l’efficacité sur le temps court? | En faisant de la preuve par l’exemple sur des sujets « courts » (“quick-win”) où les résultats visibles, concrets et immédiats sont mesurables (montée en compétence, réalisation d’un projet, animation d’un atelier…). |
| – Quel accompagnement au changement ? | La preuve par l’exemple |
| – Est-ce que ca se pratique ailleurs en Europe ? | L’individualisme est un phénomène de société, en France comme ailleurs |
| – Quelle énergie à y mettre au départ ? | C’est une passion ; ce n’est donc pas “en plus” mais “avec” |
| – Faire ça seul et contre tous ? | non, uniquement avec et pour ceux qui y trouvent un intérêt ! |
| – Comment on fait en sorte que ca tourne dans des communautés existantes ? | S’assurer que dans ces communautés il y a des acteurs engagés qui y croient |
| – Comment contribuer au KM en tant qu’acteur QSE ? | Beaucoup de sujets s’y prête : audit, risques, compétences… |
| – Comment garder les experts et leurs contributions ? | Les valoriser d’une manière ou d’une autre |
Pour en savoir plus, voir le BeezMap « Capital Immatériel ».